Archive de : avril, 2015
C’est en fait la version française de l’émission américaine Jim Henson’s Creature Shop Challenge et ça promet !
Des apprentis marionnettistes vont s’affronter pour créer des créatures les plus fabuleuses les une que les autres avec la méthode de l’animatronic et les faire s’animer dans des défis de plus en plus compliqués. Pas la peine de vous dire que je ne manquerai pas ce rendez-vous !
Vraiment, cette chaîne a le mérite de proposer de bon petits programmes : Ink Masters (tatouage), Face Off (maquillages fantastiques et effets spéciaux) et même la série Lost Girl, bien sympatoche et qui ne se censure en rien !
Ig Perrish est soupçonné par la ville entière du meurtre de sa petite amie Merrin. Comme il était saoul cette nuit-là il ne se rappelle absolument pas ce qui a pu se passer. Grâce à de nombreux flash-back sur leur enfance, la manière dont ils se sont connus et comment leur histoire d’amour a éclos, on comprend que c’est un amour immense et total qui est sous-jacent. Ig est désespéré, seules quelques personnes le croient innocent et il se retrouve au lit avec l’une d’elle, son amie d’enfance, serveuse, qui profite d’une nuit alcoolisée pour lui mettre le grappin dessus. En se réveillant, Ig va constater une chose étrange…
Ouais je sais, je me la pète en anglais… Bref, notre brave Ig se réveille avec une paire de cornes, que les gens semblent voir sans être plus choqués que ça. Paniqué, notre héros va chez le médecin pour se faire soigner et va réaliser que ces cornes forcent les gens à avouer toutes leurs pensées les plus secrètes (même celles qu’on souhaiterait ne jamais entendre !). Cela va donner lieu à des scènes très drôles, car Ig déclenche des aveux plutôt gênants dont il réalise qu’il va pouvoir se servir pour retrouver le vrai meurtrier de Merrin.
Ce film a le mérite de nous montrer un autre visage de Daniel Radcliffe, inoubliable Harry Potter. On ne peut que le prendre en sympathie car il est cool et foncièrement gentil. Petit à petit, il va même prendre plaisir à utiliser le pouvoir de ses cornes pour rajouter du fun dans ses confrontations avec les gens. J’aime beaucoup l’idée que parfois, il ne vaut mieux pas savoir ce que les personnes, surtout les plus proches comme la famille, pensent réellement de vous : Ig va se le prendre en pleine gueule. Bien décidé à retrouver le meurtrier, Ig se laisse de plus en plus gagner par la colère et le désir de prendre sa revanche, au risque de se laisser dévorer par ses nouveaux pouvoirs obscurs.
Alexandre Aja a bien su retranscrire la force de cette histoire d’amour et son cadre presque féérique : la cabane dans la forêt où se retrouvent les amants et où Merrin trouvera la mort est comme un refuge hors du temps, une bulle pour nos deux amoureux. Les flash-back sur l’enfance des personnages font penser à Stephen King, qui accorde beaucoup d’importance aux amitiés passées et aux liens qu’elle créent. Il n’y a qu’à voir le téléfilm « Çà » : la partie la plus riche et intéressante c’est celle où les protagonistes sont enfants, ou encore Stand By Me, qui tire sa force de l’amitié de ses jeunes héros.
L’intrigue est bien menée, avec des très belles images et Daniel Radcliffe nous confirme ses talents d’acteur. Ayant lu le livre, je trouve que le passage à l’écran est vraiment réussi, tout en sensibilité et sans trop en rajouter. Je vous laisserai quand-même découvrir le bouquin de Joe Hill, sorti en France sous le nom Cornes, un indispensable, tout en vous recommandant ce bon film !
En fait j’ai découvert trois produits qui valent vraiment le coup : un exfoliant corps, une crème de jour et un fond de teint mousse léger comme une plume !
Cette petite merveille a le bon goût d’exfolier vraiment bien, avec de gros grains mais sans décaper. Ça rend la peau toute douce avec en prime un parfum agréable et je peux vous dire que j’en ai testé des gommages ! le prix oscille entre 6 et 10 euros et le tube dure longtemps car le produit est tellement efficace qu’il n’en faut pas beaucoup, alors moi je dis bingo !
Enfin j’ai trouvé la crème de jour pour peau mixte (je pense qu’il y en a pour tout type de peaux) qui me convient. Si on enlève l’odeur que personnellement j’adore, cette crème est l’équivalent exact au niveau texture et efficacité de la crème A-Derma pour peau mixte, conseillée par une amie. Sauf que Lavera est une marque vegan, d’après ce que m’a dit la vendeuse et que l’on est sûr à 100 % que ce n’est pas testé sur les animaux. J’ai essayé récemment de devenir végétarienne mais comme j’aime trop la viande et pas assez les légumes, je peux au moins acheter des produits non testés sur les animaux, c’est le minimum que je puisse faire pour eux. Le prix est de 12 euros en boutique.
Eh ben ça y est les amis, après des années de recherche pour trouver le fdt parfait, j’ai mis la main sur mon produit fétiche ! On peut dire que j’ai tout essayé, mousse, stick, fluide, mat….Pour enfin trouver un fond de teint qui respecte mon éthique (non testé sur les animaux), mon porte-monnaie (12 euros) et me fournit une bonne couvrance en étant étonnamment doux. Ce qui pourrait gêner certaines c’est qu’on doit plonger ses doigts dans le pot, mais j’ai envie de dire que si vous vous lavez les mains après être allées au toilettes, ça devrait le faire ! Sinon dès qu’on le met, il s’étale parfaitement et se fond littéralement avec la peau, il sent super bon aussi et surtout il a la parfaite couvrance : légère mais juste le minimum pour camoufler les défauts. Personnellement j’ai pris la teinte Honey, qui me va très bien, en même temps j’avais le choix entre une teinte très claire qui m’aurait fait ressembler à un zombie ou une magnifique couleur rosée qui m’aurait apporté cette petite nuance papier-toilette que je déteste !
Voilà les filles, j’espère que cet article vous a plu et vous aura permis de découvrir des produits sympas et retenez-bien : le bio (et ceux qui n’ont que ce mot à la bouche) ça peut vite devenir chiant mais des fois c’est très très bien !
Cette bd entièrement en noir et blanc et sans paroles de Thomas Ott m’a été offerte par ma belle-sœur (qui décidément connaît bien mes goûts) et c’est avec délice que je me suis plongée dedans. Lire cette bande dessinée, c’est découvrir un univers étrange, une atmosphère entre les Contes de la Crypte et La Quatrième Dimension.
Le synopsis est le suivant : une petite fille décide de se rendre à une fête foraine avec ses cinq pièces en poche. Malheureusement, toutes les attractions sont au-dessus de ses moyens et elle ère tristement à travers la foire, jusqu’à ce qu’elle découvre enfin quelque chose à sa portée : le Cinema Panopticum. Cinq guichets avec un écran chacun, et pour le prix d’une pièce, une histoire lui est racontée en image.
Notre jeune héroïne va donc découvrir les récits : The Hotel, The Champion,The Experiment, The Prophet et The Girl, sortes de contes macabres, étranges et sombres. Le lecteur est dérouté tout comme elle, mais curieux de voir où ces histoires vont le mener. On pense vraiment à l’humour noir de La Quatrième Dimension, surtout avec la fin du premier récit et aux Contes de la Crypte pour le format de petits sketchs ironiques. Le dessin est très fin et réalisé comme sur une carte à gratter.
Cette bd m’a intriguée, d’ailleurs je pense que je vais m’intéresser de très près au travail de son auteur. J’adore ce qui sort de l’ordinaire et je peux vous affirmer que cette petite fille en aura pour son argent…
Bienvenue à toi !
Ici tu trouveras tout ce que j'aime en matière de bandes dessinées, de films fantastiques et d'horreur, d'expos et de musique. Il y a même un corner beauté pour les filles (qui ne se prennent pas trop au sérieux)
Bonne visite !
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