Archive de : juillet, 2015
Si comme moi vous avez la peau du corps qui nécessite d’être très hydratée pour être parfaitement douce, ruez vous sur ces deux produits à petits prix. Bon petite précision mais qui a toute son importance, je les ai achetés à Hyper U alors débrouillez-vous pour en trouver un, en vacances par exemple, ou comme moi, si vous en avez un à côté de chez vous, prenez-en pour les copines !
Ben oui, il n’est pas doux mais il faut ce qu’il faut ! on exfolie ou on caresse avec une plume ? Non mes petites, on y va à fonds et on enlève ces foutues peaux mortes. Pour cette raison, je ne l’utilise que deux fois par semaine, mais si vous êtes une warrior dans l’âme, vous pouvez relever le défi…
Alors ce produit, le gommage corps exfoliant By U, sent très bon le fruit mais il faut y aller mollo, car les morceaux de « sucre » exfoliants sont assez puissants, donc mes amies à la peau sensible, passez votre chemin ! Le résultat ne se fait pas attendre, la peau est lisse et débarrassée de ses impuretés. Ensuite ?
Moi qui ne jurais que par le lait Mixa peau très sèche, j’ai trouvé un lait très hydratant et parfumé à la noix de coco qui fait passer le lait Mixa pour un petit joueur : le lait corps réparateur peaux extra-sèches By U. L’application est agréable, le lait pénètre vite et dégage une odeur agréable…enfin au début : je ne sais pas si c’est le PH de ma peau qui est spécial, mais au bout d’un moment je trouve que l’odeur tourne un peu et sent la noix de coco pourrie. Heureusement, l’odeur ne reste pas et seul le résultat compte : votre peau est parfaitement hydratée, tout le monde me dit qu’elle est très douce. Alors, on pue et on a la peau douce ou on sent bon et on a la peau rêche ? non, je plaisante, l’odeur disparaît après quelques instants.
NB : je ne me rappelle plus trop les prix mais il me semble que le lait corps est autour de 3 euros et l’exfoliant autour de 4 euros.
Voilà, maintenant je suis plus douce qu’une pierre polie à moindre coût et j’arrête pas de me caresser les bras, elle est pas belle la vie ?
Amateurs d’action, de sang et de dialogues percutants, voici le roman sur lequel vous devez vous précipiter. Je viens de le finir et je me dis que je suis encore tombée sur une bonne petite pépite !
Monza Murcatto, appelée aussi la bouchère de Caprile, avait tout : La beauté, la richesse et le pouvoir de mener à la guerre des hommes qu’elle effrayait autant qu’elle fascinait. Elle est un jour trahie par le duc d’Orso, son employeur, qui s’en débarrasse et la laisse pour morte. Mais Monza survit et bien qu’horriblement mutilée, brisée et presque détruite, elle décide de trouver un nouveau but dans sa vie : Détruire tous ceux qui ont participé à sa tentative d’assassinat et les faire souffrir autant qu’il sera possible.
Pour assouvir sa vengeance, notre courageuse héroïne va s’entourer des personnes qu’elle estime assez dangereuses pour mener à bien sa quête. Il y a Shivers, un guerrier du nord qui souhaite devenir un homme bon ; Morveer, le maître empoisonneur prétentieux et sournois, flanqué de son assistante Day, obsédée par la nourriture ; Vitari, spécialiste de la torture ; Cordial, qui ne comprend le monde qui l’entoure qu’au travers des nombres et de ses dés et Cosca, mon personnage préféré, ancien commandant alcoolique trahi par Monza et qui a pour manie de retourner sa veste dès que cela s’avère nécessaire.
Monza va pouvoir réaliser sa vengeance, traversant des villes aux noms qui évoquent l’Italie, telles Borletta, Musselia ou encore Caprile. Elle laissera son empreinte sanglante dans l’histoire et découvrira que la vengeance a ses limites et qu’elle n’est jamais sans conséquences.
Les personnages sont tous intéressants et les dialogues sont vifs, assez crus parfois, toujours réalistes. Monza est l’archétype de la déesse guerrière, sauvage mais qui essaie de rester (plus ou moins) juste. Les dialogues sont vraiment savoureux et les situations, même les plus dramatiques, sont traitées de manière ironique. Joe Abercrombie vous fait pénétrer dans son monde de guerre tout naturellement, on pense à Game Of Thrones pour le jeu de pouvoir auquel se livre les dirigeants et Monza pourrait tout à fait être une Arya Starck, répétant sans cesse sa litanie vengeresse (Cersei, The Mountain, Meryn Trant…) pour se motiver. Les personnages ne sont ni bons ni mauvais, comme dans toute époque de guerre ils ne vivent plus, ils survivent, quitte à faire tout ce qui sera nécessaire pour tirer leur épingle du jeu.
Encore une super découverte, je vais donc me pencher plus sérieusement sur le cas Abercrombie car son style d’écriture m’a définitivement convaincue.
Comme d’habitude, un petit dessin de mon cru pour représenter Monza et son équipe, bonne lecture !
J’ai décidé de faire cette section pour partager avec vous mes souvenirs très personnels en matière de films d’horreur ou fantastiques. Ces films ne sont donc pas tous récents, loin de là, mais ils ont le mérite d’avoir imprégné ma mémoire !
Angoisse est ma première vraie expérience horrifique, partagée avec mes sœurs et ma voisine. Souvent le samedi après-midi on louait des films au vidéo-club : on filait directement au rayon films d’horreur et on montrait très rapidement la jaquette à mon père, qui nous accompagnait, de façon à ce qu’il ne voit pas trop ce qu’on avait pris. Très utile vu que c’est lui qui payait la location… et puis hop, direction la chambre où on se mettait dans le noir pour mater nos trouvailles. Il faut préciser qu’à l’époque ma voisine était la seule qui avait déjà vu un vrai film d’horreur et pas des moindres : Massacre à la tronçonneuse ! j’étais trop jalouse ! la chance ! (euh, excusez-moi, je revis un peu trop la scène, là)
L’histoire raconte la relation très ambiguë entre une mère et son fils, qui devient aveugle. Pour empêcher ça, elle hypnotise son tueur de rejeton pour récolter des yeux sur des victimes non consentantes. Franchement, l’ambiance était super glauque, je me rappelle qu’on était scotchées, à fond dans le film. A un moment, le fils s’acharne particulièrement sur une victime pour lui enlever l’œil et on entend très distinctement le bruit du métal qui frotte contre l’orbite. J’ai dit un truc du genre « ah, mais c’est dégueulasse !! » et une seconde après dans le film, on entend exactement la même phrase, prononcée par une fille. Franchement ça fait bizarre comme effet ! En fait, on se rend compte que c’est un film dans un film : deux amies sont au cinéma et regardent le film, Angoisse, en même temps que le spectateur.
Les deux filles vont se rendre compte que quelque chose de pas très normal se prépare, car un vrai tueur s’est glissé dans la salle. Je ne me rappelle plus très bien de la fin mais je sais qu’on en prend plein les yeux. Je me souviens surtout de la mère, qui avait une toute petite voix de sadique. Il me semble avoir revu cette actrice (une personne de petite taille avec une allure assez marquante) dans d’autres films, dans lesquels elle joue souvent des personnages inquiétants.
Eh bien mes enfants, pour un premier film d’horreur, on étaient contentes de notre coup ! Ce fut le premier d’une longue liste…
Bienvenue à toi !
Ici tu trouveras tout ce que j'aime en matière de bandes dessinées, de films fantastiques et d'horreur, d'expos et de musique. Il y a même un corner beauté pour les filles (qui ne se prennent pas trop au sérieux)
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